Ce sont les jeunes qui mènent la charge dernièrement du côté du Canadien de Montréal, et Nick Suzuki a prouvé à tous qu’il avait l’étoffe d’un joueur de centre de premier trio dans la Ligue nationale de hockey.
Depuis le 17 décembre, le CH n’a perdu que 3 de ses 12 matchs. Suzuki a poursuivi sa superbe saison en conservant une moyenne d’un point par rencontre, et défensivement, il a tenu tête à plusieurs des meilleurs centres de la planète.
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«Dans les dernières semaines, il a gagné sa bataille contre [Aleksander] Barkov, il l’a gagnée contre Brayden Point, il l’a gagnée contre Jack Eichel, il l’a gagnée contre Nathan MacKinnon. Le Canadien a remporté ces quatre matchs-là, et il a quatre buts victorieux en prolongation, [ce qui lui vaut le premier rang] à égalité avec Leon Draisaitl», a expliqué lundi à l’émission JiC le chroniqueur Tony Marinaro.
«Plus d’un point par match… Ce sont des statistiques de centre numéro 1», a-t-il ajouté.
Ainsi, le Canadien a été en mesure de faire plier les quatre plus récents champions de la Coupe Stanley. Les Panthers de la Floride, l’Avalanche du Colorado, les Golden Knights de Vegas et le Lightning de Tampa Bay ont tous goûté à la médecine du capitaine du Tricolore.
«C’est dur de reprocher quoi que ce soit à Nick Suzuki en ce moment», a reconnu l’animateur Jean-Charles Lajoie.
Avec Cole Caufield, le fidèle compagnon en attaque de Suzuki qui compte «plus d’outils dans son coffre», Marinaro se permet même de rêver.
«Si le Canadien joue comme il a joué dans le dernier mois, tout est possible», a-t-il assuré.
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